Conditions d'éligibilité pour postuler en 2025

Diplômes requis pour candidater

La validation d'une licence générale constitue le premier sésame pour accéder aux masters. Les étudiants titulaires d'une licence professionnelle ou d'un BUT peuvent également postuler, à condition que leur parcours corresponde aux attendus de la formation visée.

Les détenteurs d'un diplôme étranger équivalent au grade de licence voient aussi leurs candidatures acceptées. Cette équivalence doit être reconnue par le ministère de l'Enseignement supérieur français.

Les professionnels en reprise d'études présentent un profil particulier : leur expérience peut compenser l'absence de diplôme via une validation des acquis professionnels (VAP). Cette procédure nécessite un dossier spécifique auprès de l'université choisie.

Cas particuliers et situations spécifiques

La plateforme MonMaster accorde une attention particulière aux situations spécifiques. Les sportifs de haut niveau bénéficient d'aménagements adaptés pour concilier leurs entraînements avec leurs études.

Les personnes en situation de handicap disposent d'un accompagnement personnalisé via les services universitaires dédiés. La procédure prévoit des adaptations sur mesure selon les besoins individuels.

Les salariés avec plus de trois ans d'expérience professionnelle accèdent à un parcours simplifié grâce à la validation des compétences acquises. Un conseiller dédié les accompagne dans leur démarche.

Les étudiants ayant réussi un concours de la fonction publique profitent d'une procédure accélérée, sous réserve de présenter leur attestation de réussite avant le 24 mars 2025.

Étudiants internationaux : modalités spéciales

La candidature via MonMaster concerne uniquement les étudiants de l'Espace Économique Européen et certains pays partenaires. Les autres candidats doivent passer par la plateforme Études en France ou contacter directement les établissements selon leur situation.

Pour les masters à vocation internationale, des procédures distinctes s'appliquent. Un niveau B2 minimum en français reste requis pour la majorité des formations, sauf pour les cursus dispensés en anglais.

Les étudiants non francophones devront fournir une certification linguistique reconnue : TCF, DELF ou DALF. La validation des diplômes étrangers nécessite une traduction assermentée et une attestation de comparabilité délivrée par ENIC-NARIC France.